Le 2 octobre dernier, l'hebdomadaire Marianne a publié un article au sujet du secteur bi-collège Coysevox-Berlioz.
Parce qu'il se contente de ressasser, encore et encore, des vieux arguments éculés, comme une rengaine mille fois entendue depuis des mois et des mois.
Parce que ligne par ligne, ce sont les clivages et les vieilles rancoeurs qui retrouvent droit de cité.
Parce que nous n'en sommes plus là.
Parce qu'il enfile les clichés comme on enfile des perles lourdes comme des pierres.
Parce qu'il se complait dans la caricature d'une situation qu'il n'arrive même pas à décrire correctement, fidèlement.
Parce qu'il n'apprend rien de nouveau que personne ne sache déjà.
Parce qu'un mois après la rentrée, il est encore trop tôt pour tirer un premier bilan sérieux de ce que nous avons mis en place dans nos deux collèges.
Parce qu'il n'y a pas de perdants dans cette histoire.
Parce qu'avec ses gros sabots, comme les carabiniers, cette journaliste arrive après la bataille.
Pour toutes ces raisons, vous n'êtes pas obligés de lire l'article de Marianne.
Mais parce que nous voulons porter à la connaissance de tous tout ce qui s'écrit sur nos deux collèges, voici le lien vers le journal: